"Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles". Sénèque

Renseignements et programme:

Cliquer pour accéder à n9pc2s9kc1ry1xh.pdf

http://www.ccsb-saonebeaujolais.fr/

« Ce qu’il y a de fantastique avec les chevaux républicains, c’est qu’ils ne sont ni de droite, ni de gauche, mais qu’ils avancent ensemble, dans le même sens, sans calculs partisans, et que personne ne s’en plaint »… Au fait, ça ne vous rappelle pas quelque chose ? »

« La peste… Ils n’en mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : elle ne tue pas toute la population, mais affecte, très gravement, toute une communauté, lorsqu’elle s’abat sur elle ».

Jean de La Fontaine

Dans la série suspense, angoisse, terreur… le théâtre du « Grand Guignol » vous propose le remake de « La femme qui aimait les têtes »… la tragi-comédie que personne n’a envie de voir et d’entendre le 7 mai prochain sur tous vos écrans, tablettes et smartphones…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand-Guignol

https://beaujeu2014.wordpress.com/2017/02/06/la-pensee-du-jour-le-tunnel-et-le-cerisier/

Affaire à suivre le 7 mai…

Les 29 et 30 avril, 62 fermes vous accueillent dans le Rhône et dans la Loire. Au travers des rencontres avec les producteurs, découvrez leur métier, leur environnement et leur savoir-faire.

Plus d’infos ici: http://www.defermeenferme.com

« Aujourd’hui Beaujeu » vient de sortir. Rassurez-vous, c’est le même qu’hier. Du grand classique ! Les tensions financières qui ruinent les budgets de toute collectivité, la baisse continuelle des dotations de l’Etat… etc…etc… On n’y échappe pas à la sortie de chaque bulletin (Question subsidiaire: en tant que citoyen-contribuable, serait-il possible d’avoir un paquet de Kleenex  livré avec le bulletin ?). En fait, « il n’y a pas un rond, MAIS, cela prend beaucoup de temps et malgré la tempête, nous garderons le cap ! » Voilà du concret, de l’authentique, du volontarisme. « Nous restons fortement mobilisés » pour faire comme d’habitude, c’est à dire pas grand chose.  Certes « la baisse de nos ressources nous impose de décaler certains projets, mais nous garderons le cap et nous continuerons à suivre les objectifs que nous nous sommes fixés (c’est perturbant la langue française, le mot « objectif » n’a pas forcément  la même acception pour les uns ou pour les autres)… Après le haut, le bas de la ville, par exemple, il faudrait une action concertée avec le Département, qui n’a plus un rond non plus… Ah, ces restrictions budgétaires, c’est terrible, même avec la bénédiction de St Martin, on s’en sort pas… »

Le plus beau, c’est la conclusion: « Vous le verrez, Beaujeu avance… ». Vers le naufrage ?

Bravo, vous m’avez reconnu. Et bien oui, je me propose de vous écouter et de braire pour vous si vous m’accordez votre confiance. Une certitude, ça ne peut pas être pire que les autres, j’ai du nez, mon costume est en poils authentiques et naturels, je n’ai pas d’assistants, mes feuilles de choux sont à votre écoute et ma voix portant selon certains dires jusqu’à 6 km, je saurai vous faire entendre…

Ensemble, gambadons vers un avenir radieux…

Selon certaines sources, un 12 ème candidat mystère se serait immiscé subrepticement dans la campagne électorale. Sauriez-vous le reconnaître et seriez-vous prêt à voter pour lui?

« Beaujeu s’honore d’un glorieux passé », c’est ainsi que le maire de Beaujeu titre son éditorial (inchangé depuis son élection en 2008) sur le site officiel de la commune… heureusement qu’il y a le passé, parce que le présent est nettement moins glorieux…

C’est à lire ici;

http://beaujeu.reseaudesvilles.fr/default/#

C’est à Saint Rémy de Provence. Ils sont 17 créateurs de disciplines très diverses.

Et pourquoi pas à Beaujeu dans un lieu où l’on pourrait voir travailler les créateurs à tour de rôle et participer à des ateliers?

Claudine Lapalus (à gauche) et Fabienne Villerait

Claudine Lapalus est une jeune œnologue, installée en 2014 sur une petite exploitation viticole à Quincié en Beaujolais. Son objectif : proposer des vins d’amateurs, vrais et avec de la personnalité. Son credo: unir les compétences et les talents, tel qu’elle exprime elle-même sa démarche oeno-artistique:

« La culture du cépage Gamay en Beaujolais autorise à une grande liberté de création avec des vins blancs, rosés, rouges, effervescents, structurés ou gouleyants, fruités ou épicés, gais ou austères… Un monde et des terroirs à explorer, tant pour le producteur que pour l’amateur, ou le touriste.

J’ai également découvert sur mon territoire rhodanien de nombreux autres fruits et miels, et des producteurs attentifs, passionnés, engagés. En développant la gamme de vins de fruits et hydromels, je souhaite mettre en avant leur travail et notre collaboration.
Avec mes moyens, via quelques technologies numériques, et toujours dans l’objectif de créer du lien et de valoriser l’économie artisanale locale, j’ai donc choisi de lier chacune de mes cuvées à un artiste local, duquel j’apprécie le travail. Parmi leurs créations, nous choisissons un extrait à apposer sur l’étiquette qui aura donc pour rôle de valoriser nos travaux respectifs, et d’apporter un visuel artistique et une bouteille esthétique sur votre table. »

Voilà le terrain de créativité, large, ouvert, que j’ai choisi pour produire et vous présenter mes vins. Comme un esprit contemporain, je transgresse les frontières de la technique et de la tradition pour explorer un produit du terroir artistique et travaillé autrement… »

23 mars dégustation des cuvées de Claudine Lapalus au caveau de Régnié-Durette, en présence de plusieurs artistes. De Gauche à droite, Mariane Léger (Yumepema), Magalie Steinmetz (Atelier 3D), Hervé Brisot (vannier), Frédéric Daguet (Rubicom), Claudine Lapalus et Fabienne Villerait (Facreabeton).

Assurément, Claudine Lapalus s’inscrit dans une démarche totalement réfléchie, innovante et porteuse d’avenir pour le Beaujolais. Loin des théories économiques et des pratiques d’antan qui ont montré leurs limites et qui ont mené nombre d’exploitations à leur perte (surproduction, chaptalisation, thermo, course à l’export…), Claudine ouvre la voie d’un positionnement du vignoble mieux adapté aux contraintes d’aujourd’hui et aux attentes du consommateur. Peut-on lutter raisonnablement contre les effets de la mondialisation, en terme de rendement et de coûts, peut-on espérer faire perdurer éternellement l’impact du Beaujolais nouveau ? Pour être à nouveau reconnu, le Beaujolais doit se démarquer et jouer la carte de l’originalité, de la personnalisation, de la proximité et de l’oeno-tourisme. Claudine l’a fort bien compris: petite exploitation à taille humaine, méthodes traditionnelles, prise en compte de l’environnement, production raisonnée, authenticité, qualité, diversification, valorisation du contenant (bouteille et étiquettes), présence sur internet, osmose et complémentarité avec des artistes locaux, union des compétences, des forces et des talents, telles sont les bases de sa démarche. Quel bonheur !

Retrouvez ici les produits de Claudine et ses artistes associés:

http://www.vinsclapalus.com/

Réflexion d’un enfant de 4 ans et demi en passant devant le Musée des Confluences à Lyon: « T’as vu, maman, c’est tout cassé ! Y’a même un gros trou au milieu !!! »

Idéale pour vos crêpes, pizzas, cakes et pâtisseries, pensez à la farine de Strasbourg. Recommandée pour les meetings et réunions publiques…

Finalement cette campagne électorale est bien classique et bien franchouillarde : emplois fictifs, complicité et recel de détournement de fonds publics, abus de biens sociaux, escroquerie aggravée, corruption, dénonciation, trahison, écoutes, peaux de banane, mises en examen… Pour le 3ème âge coutumier des faits, rien de nouveau en somme, puisqu’il représente la grande majorité de votants et qu’il défend aveuglément, coûte que coûte, tous yeux et oreilles appareillées et bouchées, son champion et ses acquis. De quoi motiver les jeunes générations et leur montrer le bon chemin ? Pas certain… mais bravo les anciens, vive la démocratie, continuez comme ça !

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